1847 Volume IX

218, 1er mai : « Transformation du Cirque national en Théâtre lyrique, par Cham. » [caricatures] (p. 141)
C p. 141
L’aigle du Cirque fuyant le canard musical.
Cham [Amédée-Charles Henri, comte de Noé]
8,6 x 5 cm
D p. 141
— Oui, mon pauvre Murât, je suis sans place ! Être entré dans toutes les capitales de l’Europe, et ne pouvoir pas entrer à l’Ambigu-Comique !
Cham [Amédée-Charles Henri, comte de Noé]
8,8 x 7,2 cm
E p. 141
— Comment ! toi aussi ?... Junot ! — Ma foi, sire, que voulez-vous ? le règne du sabre est passé.
Cham [Amédée-Charles Henri, comte de Noé]
8,5 x 10 cm
F p. 141
— Et ta mère, Eugène ? — Sire, elle est engagée aux Folies-Dramatiques. — Oh ! je suis tranquille.
Cham [Amédée-Charles Henri, comte de Noé]
8,3 x 6,3 cm
G p. 141
Désespoir de MM. les vétérans et de MM. les chevaux attachés au Cirque, le jour de la fermeture du théâtre.
Cham [Amédée-Charles Henri, comte de Noé]
8,7 X 8,2 cm
H p. 141
— Tenez, mon brave, combien me donnez-vous de mon habit ? — Mais, général, votre habit autrefois aurait valu 100 fr. ; mais il ne vaut plus aujourd’hui que 15 francs.
Cham [Amédée-Charles Henri, comte de Noé]
9 x 7,7 cm
I p. 141
Moins grand que Lablache, mais encore mieux fait pour une basse-taille.
Cham [Amédée-Charles Henri, comte de Noé]
8,4 x 7,1 cm
J p. 141
— Je croyais que vous vouliez encourager les jeunes compositeurs ? — Eh bien ! monsieur, ne jouons-nous pas les opéras que Rossini, Auber, Adam, ont composés dans leur jeunesse ?
Cham [Amédée-Charles Henri, comte de Noé]
8,4 x 6 cm