1866 Volume XLVIII
N° 1231, 29 septembre : « L’envers du Théâtre. Le personnel, les trucs grands et petits, étude scénique, par Bertall. » [caricatures]
(p. 204)
B p. 204
Roulement de tonnerre en tôle. — Attention à ta réplique, Emile les dieux me seront-ils propices ! Un coup de tonnerre. — O Zulma ! je t’aime. Trois coups.
Bertall [Albert d'Arnoux]
5,8 x 8 cm
C p. 204
Machine à fabriquer les éclairs. Quand Emile secoue sa tôle, Pierre souffle dans sa pipe. Ça n’est pas plus malin que cela.
Bertall [Albert d'Arnoux]
5,6 x 5,1 cm
D p. 204
Le vent. Double cylindre en papier gris, pour imiter le vent.
Bertall [Albert d'Arnoux]
5,7 x 5,5 cm
F p. 204
Une fusillade. Pour les feux de file, on tourne lentement et par saccades ; pour les feux de peleton, deux tours nourris et vigoureux, accompagnement de grosse caisse.
Bertall [Albert d'Arnoux]
3,8 X 7,5 cm
G p. 204
La chaise de poste de la marquise. Attention au chœur des villageois.
Bertall [Albert d'Arnoux]
4 x 7,3 cm
1852 Volume XIX
N° 480, 8 mai : « Le secret de la comédie, par Eustache Lorsay. — Gravure de M. Adrien Lavieille. » [caricatures]
(p. 300)
DD p. 301
[Physionomies diverses.] Celui qui aboie, qui imite le chant du coq et le cri de l’âne dans la cantonnade.
Eustache Lorsay
6,2 x 3,3 cm