1850 Volume XV

372, 13 avril : « L’Olympe au coin de la rue, par Damourette et Th. Gersan. » [caricatures] (p. 236)
A p. 237
Te voilà donc, dieu déchu de la lyre ! Apollon, méprisé depuis que l’on sait lire ! Ton instrument ne rend qu’un son poussif, Tes vers sont remplacés par le législatif.
Abel Damourette
14 x 10,5 cm
1850 Volume XV

376, 11 mai : « L’Olympe au coin de la rue, par Damourette et Th. Gersan. (Suite.) » [caricatures] (p. 300)
A p. 301
Voilà ce qui charmait et faisait à la fois Fuir le prudent Ulysse ; aujourd’hui, [je conçois Les sirènes étant à celles-ci pareilles, Que le prudent Ulysse eût peur pour [ses oreilles.
Abel Damourette
13 x 10,6 cm